Histoire de la guillotine en Algérie
La première exécution en Algérie d’un condamné à mort par la guillotine date du 16 février 1843. Auparavant, c’était à l’aide du « yatagan », sabre à lame recourbée que les condamnés à mort étaient décapités.
La première exécution en Algérie d’un condamné à mort par la guillotine date du 16 février 1843. Auparavant, c’était à l’aide du « yatagan », sabre à lame recourbée que les condamnés à mort étaient décapités.
Dans une dernière livraison datée du vendredi 12 novembre, le quotidien du soir Ennahar, publié en langue nationale à Constantlne, défraie la chronique par un long commentaire sur les raisons qui auraient précipité l'assassinat de Kasdi Merbah, ex-Premier ministre et président du MAJD.
Le lundi 22 novembre 1999, à 10h 45 fut lâchement assassiné Abdelkader Hachani dans un cabinet dentaire, par un individu armé d’un silencieux. Deux balles dans la tête et une autre dans le thorax ôteront la vie à cet homme politique. Un véritable travail de professionnel.
A l’initiative de la fédération du Front des Forces Socialistes de Tizi Ouzou, un vibrant hommage a été rendu aujourd’hui à M’barek Mahiou, ancien Secrétaire Général par intérim du FFS, assassiné avec son neveu, Farid Mahiou à Kouba (Alger), le 04 Novembre 1995 en plein campagne des élections présidentielle.
Berne a mis du temps avant de saisir les enjeux du conflit et de se positionner. Le FLN, lui, avait bien compris la Suisse, juge l’historien Damien Carron, qui vient de soutenir une thèse sur le sujet
Nous nous sommes faits l’écho, il y a quelques jours, d’un courrier transmis par Me Bouzida dans lequel il prenait à partie violemment Mme Anissa Boumediène, suite à la publication par cette dernière d’articles critiques relatifs au Président défunt Mohamed Boudiaf.
La présidence égyptienne détient d'importantes archives de la révolution algérienne.
Dès la "colonisation", les Français ont introduit au Maghreb, en Algérie principalement, leur Justice et leur méthode de châtiment : la Veuve.
Né en février 1932 à Béjà, en Tunisie, Maurice Audin était assistant de mathématiques à l'université d'Alger. Membre du Parti communiste algérien et militant anticolonialiste, il est arrêté le 11 juin 1957 à son domicile à Alger. Personne ne le reverra et son corps n'a jamais été retrouvé.
27 juillet 1950. 13ème étape du Tour de France qui relie Perpignan à Nîmes. La chaleur est caniculaire. Un homme s’est détaché du peloton : Abdel Kader Zaaf, un honnête coureur de l’équipe « France-Algérie ».
Au matin du 3 mars 1957, Mohamed Cherif Moulay, 12 ans, découvre un poignard dans le couloir d'entrée de la maison familiale, dans la Casbah d'Alger. Accrochée à une ceinture de couleur kaki, l'arme gît dans un recoin obscur.
Le neveu de Kasdi merbah, Mr Abderrezak Laïbi, nous a adressé cette contribution, en réponse à l’article de Salima Tlemcani.