Hocine Aït Ahmed, l'organisateur
En 1949, Hocine Aït Ahmed, membre du MLTD de Messali Hadj de longue date (il y adhère à 16 ans), fonde l'Organisation spéciale (OS), en son sein.
En 1949, Hocine Aït Ahmed, membre du MLTD de Messali Hadj de longue date (il y adhère à 16 ans), fonde l'Organisation spéciale (OS), en son sein.
Larbi Ben M'Hidi est le principal martyr de la guerre d'Algérie. Dès 1945, sensible aux revendications indépendantistes, il adhère aux Amis du Manifeste et de la liberté (AML), fondé par Ferhat Abbas.
Mohamed Ben Brahim Boukharouba prend le nom d'Houari Boumédiène pendant la guerre d'Algérie, en mémoire d'un saint et savant musulman.
En mars dernier [2015], "le Nouvel observateur" révélait les circonstances de la mort du mathématicien sous la torture. Ce jeudi, François Hollande lui rend hommage.
Youcef Zighoud (en arabe : ???? ?????), né le 18 février 1921 dans le village Smendou qui porte aujourd'hui son nom (au nord-est de Constantine) et mort à Sidi Mezghiche le 25 septembre 1956 dans un accrochage avec l'armée française, est un responsable du FLN combattant pendant la guerre d'Algérie dans le nord-Constantinois.
De son vrai nom Ammar Ali, est un combattant du FLN pendant la guerre d'Algérie, participant notamment à la bataille d'Alger, aux côtés de Hassiba Ben Bouali, Zohra drif, Petit Omar et Yacef Saadi chef de la Zone Autonome d'Alger (ZAA).
De son vrai nom Yacef Omar, figure emblématique de l'enfance algérienne engagée dans la guerre d'indépendance.
Née le 18 janvier 1938 à El-Asnam (aujourd'hui Chlef), Hassiba Ben Bouali y entama ses études primaires, qu'elle poursuivit à l'école Aïn Zerga, à Alger, où ses parents s'étaient installés en 1947. Elle obtient le certificat d'études primaires en 1950 et entre au lycée Pasteur (aujourd'hui annexe de la Faculté Centrale), où elle y étudia jusqu’en deuxième année.
Zohra Drif est une Modjahida et militante dans le FLN et épouse de Rabah Bitat, un des neuf chefs historiques du FLN.
Guy de Maupassant a écrit : "Le monde accuse, soupçonne et calomnie avec une déplorable facilité." Mais lorsque les preuves sont palpables et écrites, doit-on escamoter les faits ?
« Cher Maître,
Je m’excuse si mon ton vous parait un peu grave, mais la question pour moi à son importance : ma grâce. N’y réfléchissez plus.